Chaque minute, trois personnes inscrites sur
Facebook meurent dans le monde. À ce rythme, le
réseau social aux 2 milliards d’utilisateurs comptera bientôt plus de membres morts que vivants. En filigrane, ce constat dévoile des nouvelles problématiques complexes : que deviennent nos données post-mortem ? Qui doit les administrer et comment anticiper la gestion de ce pan numérique de notre vie (et notre mort) ? Le “deuil numérique” dans ses implications sociétales, légales et économiques est un terrain d’études qui commence à peine à être défriché.